Wellan Ikarin
Messages : 298 Date d'inscription : 17/04/2017
| Sujet: RPG - Lieues Sam 27 Mai - 18:03 | |
| Bonjours à toutes et à tous ! Il y a quelques mois j'ai commencé à travailler sur un RPG et j'ai commencé à détaillé tout le monde dans lequel celui-ci se déroule pour pouvoir y jouer avec des amis. Cependant, n'ayant plus vraiment le temps nous avons arrêté d'utiliser ce RP trop compliqué pour partir sur des choses plus simples. Après avoir passé plusieurs journées sur ce projet , je ne voulais pas qu'il tombe totalement dans l'oublie je vous envoies donc mes écrits (qui ne sont d'ailleurs pas terminés sur la partie culture, religion et architecture). Si vous avez des idées à me proposer ou si vous voulez tout simple utiliser ce BackGround pour un de vos RP laissez un petit message et je me ferai un plaisir de vous répondre (vous pouvez aller sur ce serveur discord qui est un serveur communautaire pour les Rollistes : https://discord.gg/St3g7kJ si le lien ne marche pas signalez le moi : ) Bonne lecture - CARTE:
http://codex-de-trantor.pagesperso-orange.fr/images/cartes/assassin.jpg (C'est mieux)
- GUERRE:
Introduction Elles sont économiques ou simplement dans le but de gagner des terres, des places fortes ou d’en reprendre certaines, parfois ce sont juste des guerres pour montrer sa puissance militaire ou pour faire peur à ses ennemis ou encore simplement pour des raisons politiques que seul les puissants comprennent. Qui Commande ? Bearns : Général ; Conseil militaire, Roi Haurfond : Patriarche ; Peuple Labour : 1er Consul ; autres consuls, conseil militaire Rippon : Triarium ; sénat, gradés Cerf : le roi, les seigneurs, les chevaliers Etats Chalcedes : conseil des cités, gradés, maréchal en chef Royaume des Montagnes : Roi ; chefs de clan, chef de guerre Bauge : Parlement ; gradés Certains bataillent avec honneur et ont un respect profond pour leur adversaire, d’autres ne respectent aucune règle et n’hésitent pas à user de la trahison, de sabotage et même de magie noire. Il existe aussi de grands stratèges ainsi que de puissants chefs de guerre dans les 8 pays de Lieues. Oui en plusieurs pays (voir carte) mais les villages frontière ainsi que certains seigneurs au sein d’un même pays s’affrontent souvent dans de petites escarmouches afin de prouver leur puissance ou seulement de voler quelques denrées alimentaires ou marchandises afin de subsister, en effet, les temps sont durs… Certaines factions ont la même culture, la même architecture, la même façon de vivre mais ce sont séparées à la suite d’un conflit comme une guerre civile ou une querelle de succession. D’autres factions sont différentes en tout point et ont de nombreux différents liés à la religion, à des conflits passés, à certaines intrigues politiques ou encore aux dirigeants actuels. Dans les petites escarmouches internes, les soldats sont peu nombreux (de 50 à 400 soldats sur le terrain) et leur équipement varie d’une faction à une autre, d’un seigneur à un autre mais dans ce type de bataille, les soldats sont le plus souvent des paysans, des bandits, des gardes ou de la milice, leur équipement n’est donc pas très bon. Mais quand une faction déclare la guerre à une autre, les affrontements principaux sont beaucoup plus spectaculaires, (de 600 à 12 000 hommes et le continent de Lieues a déjà vu des affrontements opposant plus de 100 000 hommes) leur équipement varie beaucoup toujours en fonction de la faction, certaines privilégies l’entrainement et l’équipement, d’autres, le nombre et la force brute. Arsenal Les armes utilisées sont très variés et les soldats disposent d’un arsenal d’arme très complet. Au niveau des armes blanches on peut trouver tout type d’épée et de lance ainsi que des marteaux, des haches, des masses et toutes armes possibles et imaginables. Au niveau des armes de jet on trouve plutôt des arbalètes, des arcs, l’infanterie possède des javelots, des haches de jet et même parfois des couteaux. Les boucliers ont aussi une place très importante dans l’arsenal du continent de Lieues ils peuvent être grand et carré, petit et rond, en croissant ou de toute autre forme et taille. Le pays de Bearns utilise une infanterie essentiellement composée de beaucoup de lanciers ainsi que d’hallebardiers, de vougiers et de soldats munis de longues rapières. La plus grande partie de leur infanterie est armée de pique de toutes tailles, d’un énorme bouclier rectangulaire et d’un fauchon à la ceinture, leurs hallebardiers sont bien évidemment armés d’une grande hallebarde, ce sont plus souvent des gardes et on les voit rarement dans les batailles rangés, ils sont aussi équipés d’une épée bâtarde et d’un très petit bouclier rond comportant un umbo attaché au bras. Vougiers armés de vouges et d’une épée courte, ils ne possèdent pas de bouclier. Leurs unités de combat à distance sont équipés d’arbalètes et d’un long couteau de chasse, se sont très souvent des paysans et leur arme de mêlée varie beaucoup, parfois ils n’en ont aucune. Les armes sont attribuées aux soldats en fonction de leurs compétences et de leur rang social. Leur cavalerie est composée des nobles du pays et est très peu nombreuse bien qu’excellente. Le pays d’Haurfond utilise avant tout de la milice et n’a aucune stratégie particulière, leur infanterie est composée de paysans, de miliciens et de veilleurs (éclaireur et garde). Les paysans sont armés de fourches, de fauchons, de couteaux, de masse et autres armes bon marchés ou objets de la vie quotidienne. Les miliciens sont un peu mieux équipés et possèdent le plus souvent une épée courte ou un marteau de guerre, certains sont armés d’un épieu et ils possèdent tous un bouclier. Les veilleurs sont armés d’un sprat court et de plusieurs couteaux (ils peuvent être lancés ou utilisés au combat). Les soldats peuvent choisirent leurs arme eux-mêmes. Le pays d’Haurfind possède aussi quelques archers qui sont en fait des chasseurs ainsi que des frondeurs. Le pays de Labour, a une armée similaire au pays de Bearns mais utilisent beaucoup plus de vougiers que de piquiers. Leur cavalerie n’est pas composée de nobles (ils ne se battent pas) mais de simples soldats, leur équipement est libre. L’armée du pays de Bauge est avant tout composée de cavalerie (de mêlée comme à distance). Leurs cavaliers sont des lanciers équipés d’une lance lourde, d’un bouclier carré à bouts pointus et d’une spatha légère ou de la cavalerie légère armée de spatha et de boucliers hexagonaux ainsi que de 3 javelots maximum. Leur cavalerie à distance et équipée d’arc de cavalerie ou de plusieurs javelots ainsi que d’une spatha. Leur infanterie est très peu nombreuse et accompagne la cavalerie, elle est composée de soldats réguliers équipés de schiavona (broadsword) et d’un grand bouclier ovale, certains possèdent aussi un épieu et ont parfois des javelots. L’armée du pays de Cerf est elle aussi composée de nombreux cavaliers. Ce sont des cavaliers lourds ou des chevaliers. Les cavaliers lourds sont équipés d’une sica ou d’une hache à une main ainsi que d’un bouclier rond en fer ou d’un écu. Les chevaliers sont équipés d’une lance lourde, d’une épée bâtarde ou d’une épée longue et d’un grand écu. Leur infanterie est composés de citoyen en arme, ils sont équipés de piques ou de massue et possèdent parfois un bouclier ou une épée. Le pays de Cerf utilise des archers comme unité à distance ceux-ci sont armés d’arcs et de fauchons ou d’épées courtes. Les cavaliers choisissent leur équipement parmi l’arsenal cité précédemment et l’infanterie s’équipe de ce qu’elle peut. L’armée du pays de Rippon peut être comparée à l’armée romaine, leur équipement est plus ou moins similaire. Les états Chalcedes utilisent un grand nombre d’infanterie légère et un peu d’infanterie lourde ou infanterie Chalcedienne. L’infanterie légère est équipée de sabre ou de Morgenstern et possède un bouclier rectangulaire collé au bras. L’infanterie Chalcedienne est armée de bardiche ou fauchard et ont semispatha ou une dague à la ceinture. Leur équipement leur ai donné par le pays et repris à la fin de la guerre dans le cas des soldats recrutés à cet effet (les soldats d’infanterie Chalcedienne sont très souvent des professionnels et possèdent leur propre équipement). Le pays utilisent des frondeurs et des lanceurs de javelots, ceux-ci sont recrutés dans les campagnes et sont des soldats irréguliers. Leur cavalerie est composée de riches bourgeois souvent équipés de cimeterres et fléaux d’arme ainsi que d’un bouclier ovale. Le Royaume des Montagnes a une armée composée de soldats à la hache possédant un énorme bouclier rond (=bouclier viking) et une hache à deux mains ou à une main. Elle est aussi composée de soldats lanceurs de haches et de mercenaires Jamalliens équipés essentiellement d’épées à deux mains et de masses d’arme. Leur cavalerie est très peu nombreuse et est juste utilisée pour le repérage. Il existe plusieurs armes spéciales telles que les flamberges ou les épées en acier Freuxien ou les armes en métal blanc qui sont réputées pour avoir des propriétés magiques. Il faut beaucoup d’argent pour obtenir une de ces armes même si la plupart d’entre elle ne demande aucune formation pour être utilisées (sauf flamberge). Elles sont d’une efficacité dévastatrice et peuvent trancher à travers presque que tous les métaux (donc armures, boucliers, armes) et le métal blanc rend les armes d’une légèreté sans pareil dans tout Lieues. Elles sont souvent utilisées par les nobles ou les hauts gradés des armées. Place de la magie : voir MAGIE ET RELIGION Place de la technologie : voir TECHNIQUE, AVANCEMENT ET ARCHITECTURE Les armes de sièges utilisés sont diverses, de la baliste au mangonneau en passant par le trébuchet, la catapulte, le bélier et la tour de siège mais aussi des armes plus exotiques comme la grande bombarde les engins de sièges sont très diversifiés dans les 8 factions de Lieues. Ils sont très souvent faits en bois à l’exception de la grande bombarde qui est faite en fer ou en métal. Ils peuvent être parfois renforcés par des plaques de métal ou des peaux/du cuir. Ces engins de sièges sont plus souvent utilisés par des soldats formés mais certains peuvent être maniés par n’importe qui (bélier, catapulte) ayant une connaissance rudimentaire du fonctionnement de ces armes. La grande bombarde est l’arme de siège la plus destructrice de Lieues mais on raconte que des armes beaucoup plus puissantes furent utilisées il y a longtemps mais elles ont été bannies et détruite à cause de l’immensité des dégâts irréparables qu’elles causaient on dit même que le lac bleu aurait été formé à la suite de l’utilisation d’une de ces armes sur une grande ville qui se trouvait à cet emplacement. La grande bombarde est seulement utilisée en cas de siège d’une forteresse importante ou placée en position défensive dans celle-ci. Les balistes et les catapultes peuvent être utilisés pendant les batailles rangées et toutes les autres armes citées précédemment sont avant tout utilisées pendant les sièges (sauf quelques rares exeptions). Troupes Quand les guerres sont courtes et que les hauts gradés et les politiciens trouvent les bons mots pour expliquer la cause de la guerre aux soldats, ceux-ci s’entendront très bien et iront, comme un seul homme, combattre le vil et perfide ennemi de la nation. Cependant, quand les guerres s’éternisent, que les problèmes de ravitaillements commencent à apparaître et que les pertes se font nombreuses des querelles peuvent avoir lieu entre les soldats, les officiers ou dans toute l’armée. En temps de paix, si les soldats sont bien payés et qu’aucun scandale politique ou religieux n’éclate ils restent en général très calmes et s’entendent bien, quelques querelles peuvent avoir lieu mais elles sont en général minimes. Bearns : Soldat est un métier, il est possible de monter en grade on peut donc apparenter ce métier à une carrière. Les soldats sont en général eux-mêmes des fils de soldats ou des personnes à la recherche d’un métier pour survivre. Les troupes se divisent en régiment : infanterie, arbalétrier, cavalier. L’infanterie se décline en plusieurs bataillons : les piquiers, les vougiers, les fantassins de mêlée et un bataillon spécial : les gardes (les hallebardiers). Chaque bataillon est ensuite divisé en troupe commandée par un officier. Les bataillons sont dirigés par des Navarques et les troupes par des gouverneurs, le général étant le chef de l’armée. (Équipement en arme cité précédemment) Les piquiers et les vougiers possèdent le même équipement composé d’un gambison, d’une salade ou d’une bouilloire (kettle) et de chausses ainsi que de bottes, cet équipement peut parfois être complété par des gants en cuir ou en maille. Les hallebardiers, eux, sont équipés d’une bourguignotte, d’une bavière, d’une brigandine ainsi que de protections sur les bras, de jambières et de gantelets. Les fantassins de mêlée (ceux qui ont des rapières) portent une broigne et une cervelière ainsi que des chausses simples. Les arbalétriers portent plutôt un gambison ou une lamellaire en cuir ainsi qu’une bouilloire et des bottes. Les cavaliers n’ont pas d’équipement défini mais arborent souvent une armure lourde. Quand ils ne sont pas au combat les soldats portent des vêtements en peau ou des fourrures (il fait froid à Bearns) et ils sont autorisés à porter un sac ou une besace de moins de 10 kilos avec eux quand ils partent en campagne, le contenu de ce sac/besace est libre. Les officiers sont facilement reconnaissables en effet, ce sont les seuls qui n’ont pas de pique, de vouge, de rapière ou d’arbalète et qui portent un heaume avec visière ou un heaume complet. Les officiers et les gradés sont aussi les seuls à porter un tabard vert (couleur principale du drapeau) ou arborant les armoiries de leur maison sur un côté et le vert du drapeau de l’autre. Tous les boucliers sont aussi peints en vert (si possible). On ne trouve aucune femme dans les rangs. Labour : même organisation pour le pays de Bearns mais les hommes portent moins de fourrure et plus de vêtements en lin ou en tissu, les boucliers et les tabards sont de couleur jaune. Rippon : toujours la même chose que pour l’armée romaine avec des armures légèrement améliorée mais les corps d’armées sont les mêmes ainsi que les grades. Les couleurs arborées sur les boucliers sont plutôt bleue et blanche. Haurfond : soldat n’est pas un métier sauf pour les veilleurs et les gardes, les miliciens et les archers sont seulement recrutés sur le tas quand une guerre se fait sentir ou est déclarée. Leur équipement est rudimentaire et disparate, on trouve de tout, certains n’ont même pas d’armure et ils gardent souvent leur armure même quand ils sont en repos. On peut leur donner des étendards avec les armoiries de la faction (un bateau jaune sur fond bleu). Les veilleurs sont équipés d’une armure en cuir ou d’une broigne et d’un capuchon et parfois d’un spangenhelm à vantail. On peut trouver des femmes dans les rangs de la milice ou des unités à distance mais pas chez les veilleurs. Bauge : soldat est un contingent en effet, les soldats se battent en échange des terres que leur offre le seigneur. Chaque seigneur est le chef d’une Yabla qui correspond au nombre de soldats qu’il possède. En temps de guerre, le parlement désigne un seigneur pour diriger la Yabla-uns qui est constituée de toute les Yablas des autres seigneurs. Les lanciers et la cavalerie légère sont équipés d’une lamellaire lourd en cuir renforcée à certains endroits par de la maille ou des plaques de métal, ils sont aussi équipés d’un casque normand ou d’une cervelière et portent des bottes de cavalerie ainsi que de gants en cuir. L’équipement est même pour les archers de cavalerie à quelques exceptions près, en effet, ils portent un casque en cuir et une lamellaire plus légère. Leur infanterie est équipée d’un spangenhelm nasal et d’une cotte de maille ainsi que de chausses en mailles et de gants en mailles. Les chevaux n’ont pas de protection particulière autre que des œillères. Dans leur temps libre, les soldats portent des vêtements en tissu ou en laine. Les couleurs du pays (cheval noir sur un bouclier et 2 lances sur fond blanc) sont arborées sur les étendards donnés à certains cavaliers qui se sont déjà distingués au combat ou dans un autre domaine. Pas de femme dans les rangs. Etats Chalcedes : soldat est un métier, les hommes sont divisés en régiments commandés par des Maîtres de commande, ces régiments sont regroupés en divisions commandées par des officiers 1 régiment est composé de plus ou moins 50 ou 100 hommes, 1 division se compose de 10 régiments (500 à 1000 hommes), 3 divisions représentent une armée commandée par un maréchal, le maréchal en chef contrôle toutes les armées et reçoit ses ordres du conseil des trois. Le pays a actuellement une dizaine d’armées. L’infanterie légère est équipée de plastron et de gambison renforcé de maille, de ventail ou de spangenhelm à visière, ainsi que des jambières en métal. Les soldats Chalcediens sont équipés d’une armure lourde en métal et d’une barbute ou d’un heaume complet. Les soldats irréguliers (réserve) sont composés essentiellement de frondeurs et de lanceurs de javelots ceux-ci n’ont pas forcément d’armure et le choix de celle-ci est libre. Leur cavalerie a aussi un choix libre d’armure et son équipement est très diversifié. Dans leur temps libre, les hommes portent des vêtements très légers en raison de la chaleur, pendant les campagnes, ils essayent de protéger un maximum leurs armures et leur équipent su soleil et de la chaleur. Pas de femme dans les rangs (surtout pas à Chalcedes). Cerf : soldat est un métier, chaque chevalier possède une brigade composée de 5 à 10 cavaliers lourds ou écuyers et de 20 à 30 citoyens en arme (ceux-ci ne sont pas des soldats et sont seulement appelés en tant de guerre, en tant de paix ils forment une sorte de police ou de milice de ville/village), les chevaliers prêtent allégeance à un seigneur, chaque seigneur à une dizaine ou une vingtaine de chevaliers sous ses ordres ainsi qu’une armée personnelle composée d’une centaine de cavaliers lourds et une autre centaine de citoyens en arme. La milice urbaine / police est organisée en sections composées de paysans volontaires et d’un ou deux citoyens en arme qui les commandent, ceux sont des lieutenants. Les chevaliers sont équipés d’un haubert renforcé par un plastron et des cubitières, des jambières, des cuissots, des spalières… ou une armure lourde toujours surmonté d’un surcot avec les armoiries de la maison du chevalier ainsi que celle de son seigneur, son équipement est complété par des gantelets en maille ou en fer ainsi que d’un heaume, d’un armet ou d’un bassinet. Les cavaliers lourds ont plus ou moins le même équipement que les chevaliers mais moins renforcé et leur surcot ne représente que les armoiries du chevalier (et éventuellement leur propres armoiries s’ils sont écuyers donc nobles). Les chevaux portent des protections lourdes et, au repos, un drap de n’importe quelle couleur. Dans leur temps libre, les chevaliers et les écuyers portent des vêtements de nobles (tunique, vêtements de bourgeois), les cavaliers lourds, eux, portent des vêtements divers plutôt chauds en raison de la température du pays (surtout au nord). Les citoyens en arme n’ont pas d’équipement défini, les chevaliers ou le seigneur leur cèdent des armures usagées ou abimées, à long terme, ils possèdent leur propre armure qui peut être de bonne qualité. Ceux-ci portent leurs vêtements de tous les jours dans leur temps libre et leur armure quand ils sont en service. On peut trouver des femmes dans les rangs de la milice urbaine/police mais elles sont rares. Les archers sont en général équipés d’armure de cuir et spangenhelm légers/cervelières. Royaume des montagnes : inspiration viking/nain (fantasy) même armure, coutumes, formations, équipements, … Les troupes sont séparées en clans (= village, famille importante), à chaque déclaration de guerre, un chef de guerre est nommé par un vote de tous les chefs de clan et du roi. Dans toutes les armées, les soldats ont besoin de se divertir en campagne comme en tant de paix, pour cela, il existe de nombreuses activités, certains aiment organiser des compétitions physiques, des duels amicaux, des tournois (chevaliers de cerf), ... D’autres jouent pour passer le temps (dés, gwynt OUI JE PLAGIT NIQUEZ VOUS, bataille, divers jeux de cartes, certains jouent même aux échecs). Des soldats plus érudit couchent sur le papier le récit de leurs aventures et de leur campagnes, ces récits sont repris par de nombreux historiens pour étudier les guerres passées et le ressenti des soldats qui les vivaient. Il existe de nombreux spécialistes : espions, saboteurs, ingénieur de siège, ingénieur, assassins, … Ils appartiennent à des guildes et sont souvent des mercenaires engagés par telle ou telle faction, parfois ils sont formés dans des écoles au sein de la faction et sont donc des soldats de profession, chaque école et chaque guilde a un emblème/armoirie/étendard particulier ce qui permet de les différencier. Ces écoles sont situées un peu partout mais on en retrouve plus dans les factions du nord souvent plus urbaines, ce qui facilite l’implantation d’écoles et d’universités, (excepté royaume des montagnes, peu d’école mais spécialiste quand même présent cependant moins compétents) et dans les états Chalcedes. Ces écoles/universités sont tenues par des grands maîtres, des sages ou des religieux. Les guildes, elles, sont présidées par un maître de guilde ou un conseil de guilde (il existe aussi des guildes marchandes ou des ligues, toutes les guildes ne sont pas militaires). Hiérarchie Les rapports soldats/officiers sont souvent plutôt bons tant que la paye est respectée et que la guerre reste courte sans trop de pertes comme mentionné précédemment, la tolérance des soldats varie en fonction du pays mais généralement les soldats se plient à la plupart des ordres s’ils ne sont pas totalement stupides ou déraisonnables et dans ce cas si les officiers trouvent les bons mots pour les exposer et arrivent à les motiver. En règle général, un officier et tout autre gradé doit respecter ses hommes ainsi que les ennemis si négociation il y a (celles-ci se font la plupart du temps entre gradés). Il doit veiller à ce que ses hommes ne se mutinent pas (moral des hommes motiver les troupes), toujours rendre compte de ses actes et déplacements à son supérieur et rapporter tout problème éventuel. Bien sûr, il doit savoir commander et avoir le sens du commandement. Les officiers ou les gradés ont souvent droit à une meilleure place dans les campements, les casernes ou autres baraquements, un meilleur équipement (pas partout), un meilleur salaire et le droit de participer aux conseils de guerre. Ceux-ci n’ont pas forcément reçu un meilleur entraînement que les autres soldats mais ont la fibre du commandement et sont de vrais meneurs d’hommes. Bien sur les hauts gradés reçoivent des formations spéciales et ont des avantages beaucoup plus grands. Il existe 3 écoles d’officiers : une à Jamaillia, une à Forge et une à Gardebale. Seuls les riches bourgeois ou nobles y ont accès car elles sont très prisées et la caution pour y rentrer est énorme. Elles sont tenues par de simples directeurs ou bourgeois mais les professeurs qui y enseignent sont de vrais tacticiens, de vrais guerriers ainsi que des meneurs d’hommes sans pareil. Ils enseignent l’art de batailler, de motiver les troupes, de les mener, l’attitude à avoir par rapport à ses hommes, comment s’intégré parmi eux, les différentes tactiques… Dans toutes armées, les soldats entre eux sont classés, on retrouve un même classement chez de nombreuses factions : les recrues, les hommes du rang et les vétérans. Ces derniers sont très respectés et les officiers leur demande même parfois conseil et on leur accorde plus de liberté. Dans certaines armées il existe même une prime d’ancienneté. Les nouvelles recrues doivent souvent prouver leur valeur pour être pleinement acceptées par leur unité. Mais avec le temps elles finissent par créer des liens avec les autres soldats et finalement s’intégrer même si elles ne prouvent pas leur valeur au combat ou dans tout autre domaine. Certaines armées ont des coutumes d’initiation pour les nouvelles recrues. Mœurs La guerre est très crainte par le peuple, en effet même s’il existe nombre de règles, dans le feu de la bataille, des villages peuvent être rasés et des crimes commis, certains pays ou institution punissent ces crimes et luttent pour faire respecter les règles. Les bourgeois voient la guerre comme une façon de s’enrichir grâce à la vente d’armes, de provision, de services aux armées ou encore le pillage des champs de bataille. Un temps de guerre, un militaire et sa famille vivent très bien, en effet après chaque campagne la plupart des factions payent une prime de guerre aux soldats et certains profitent des batailles pour fouiller les corps et récupérer des objets de valeur. En tant de paix, les soldats irréguliers ou les hommes recrutés pour l’occasion reprennent leur métier et leur vie normale. Les soldats titulaires sont finalement payés à ne rien faire à part chasser des bandits et protéger les paysans ainsi que les bourgs, villes et villages. Leur salaire descend donc assez bas et en cas de paix très longue, certains soldats de bas rang peuvent même être licenciés. A la fin de chaque bataille, les soldats se font recenser afin de compter les morts et envoyer des missives aux familles, leurs retournant son équipement si celui-ci lui appartenait, une pension d’une durée pouvant varier en fonction de pays ainsi que du corps du défunt si celui-ci est retrouvé… Les obsèques sont laissées aux familles et les corps non identifiés sont brûlés pour éviter les maladies de se rependre. A Haurfond, la religion est très importante, et les prêtres bénissent les corps de chaque soldat mort et une cérémonie est organisée lors des crémations, les religieux sont chargés d’aider les familles des défunts. Les gradés sont prioritaires et on essayera à tout prix de retrouver leur corps, dans certaines armées ceux-ci portent même un signe distinctif afin de les reconnaître en cas de décès.
Les fils de soldats ne sont pas forcément voués à le devenir (sauf dans certains pays)
- POLITIQUE:
Système politique Bearns : Monarchie + conseil Un roi (possède le droit de censure : peut interdire 1 loi proposé par les conseils tous les 25 jours et 2 mois pour le conseil extraordinaire.) qui gouverne avec plusieurs conseils, il en existe 5 : - Conseil militaire : formé des gouverneurs et présidé par le général. En temps de guerre, la voix de ce conseil compte double. Ils votent le budget militaire et toute l’administration en rapport avec l’armée. Ce conseil rédige aussi les lois militaires. (en cas de déclaration de la loi martiale ce conseil et le roi sont les seuls à pouvoir décider) - Conseil marchand, formé des maîtres de guildes, des plus riches bourgeois du royaume et des présidents de ligues marchandes, ce conseil est présidé par 3 conseillers élus tous les 2 ans. - Conseil des juges : tribunal, présidé par un Archonte nommé par le Roi tous les 6 ans, de 100 juges (aux quatre coins du pays, ils jugent les affaires importantes), 2000 huissiers (jugent les affaires de secondes importances plus localement et font respecter la loi, on peut leur attribuer un groupe d’homme en arme pour les aider dans leur tâche) ainsi que de 10 conseillers qui votent les lois. - Conseil administratif : vérifie les lois, rédige les actes de lois une foi voté, administre le pays. Composé de 50 conseillers tirés au sort dans le haut peuple et 150 scribes/érudits. - Conseil extraordinaire : conseil composé de 3 conseillers de chaque conseil (tirés au sort sauf pour le conseil militaire et le conseil marchand, l’Archonte est aussi toujours présent) et du Roi, ils votent les lois importantes qui touchent à tous les sujets. Labour : consulat + conseil 4 consuls, le premier consul ayant celui qui a le plus de pouvoirs. Même fonctionnement que pour Bearns mais les présidents des conseils sont les consuls et le tribunal est plutôt composé de 250 juges et 3000 huissiers.
Cerf : système féodal Système pyramidal, un roi en haut, les seigneurs lui prête serment et reçoivent des terres, les chevaliers prêtent serment aux seigneurs et reçoivent eux aussi des terres. Les lois sont décidées par le roi et par le seigneur ou le chevalier sur ces terres, les lois du roi sont respectées partout mais un seigneur ou un chevalier peut imposer une loi sur son territoire, bien sûr si cette loi est contestée par le roi (ou le seigneur dans le cas des chevaliers) le seigneur ou le chevalier doit retirer cette loi. Les lois ne sont pas toutes écrites et beaucoup sont justes orales. La ville de Forge a un statut spécial et les lois de cette ville sont décidées par une assemblée composée, des chefs de guildes, des directeurs des universités et écoles de la ville ainsi que de certains seigneurs des alentours et de quelques représentants du peuple.
Bauge : oligarchie parlementaire Le parlement contrôle les lois, la justice, l’administration du pays, l’armée,… (Tout le pays). Il est composé de 800 parlementaires et 1 maitre de séance (+ le seigneur dirigeant la Yabla-uns en temps de guerre) les parlementaires sont élus tous les 6 ans par les citoyens (personne de sexe masculin ayant plus de 15 ans et payant l’impôt Sundaar depuis 2 ans) et le maître de séance est élu tous les 2 ans par les parlementaires. Il y existe plusieurs partis politiques au parlement : - Ligue des Producteurs Terriens et des Marchands (Ligue PTM) : positionnés à droite du maitre de séance. Privilégient les gros producteurs et guildes de marchands, très ouverts aux autres factions sauf au pays de Haurfond. Veulent des impôts pour tous (sans qu’ils deviennent citoyens, il faudrait donc un autre impôt pour les citoyens). Le fondateur du parti est Sundaar, grand producteur terrien. - Les Seigneurs de Guerre (SG) : positionnés à côté de la ligue des PTM (producteurs terriens et marchands). Militaristes, fermés envers les autres pays, privilégient l’armée. - Paysans et Artisans de Bauge (PAD) : positionnés à gauche du maitre de séance. Privilégient le peuple et les pauvres. Veulent une citoyenneté ouverte à tous (supprimer l’impôt Sundar), réservés envers les autres pays. Le parti majoritaire est celui des Seigneurs de Guerre.
Haurfond : Théocratie Le pays est administré par l’Eglise Fiitriaque. Celle-ci est organisée comme ce qui suit : - Patriarche (le patriarche actuel est Hulon II) : il a un rôle représentatif mais il peut quand même délibérer des lois avec les Primordiaux. Il est élu par les Primordiaux. - Les Primordiaux : il y en a 8, ce sont eux qui décident des lois qui administrent le pays. Quand un primordial disparaît les 7 autres restants choisissent une personne parmi les Pères. - Les Pères : ils sont très nombreux (1000 à 2000 religieux), chaque Père administre une église qui possède un territoire, ils peuvent nommer des Chapelains à la tête des villes, villages et châteaux et des Hiérophantes à la tête des différentes milices. - Chapelains : (de 15 000 à 16 000 religieux) ils sont nommés à la tête de villes, villages et de châteaux par les Pères. S’ils n’ont pas encore été nommés ils doivent faire des tâches administratives ou s’occuper des églises. - Hiérophantes : (5000 à 8000 religieux, 10 000 en temps de guerre) ils sont nommés par les Pères pour commander les milices, s’ils n’ont pas encore été nommés ils sont officiers dans la milice ou gardent les églises. - Les Réguliers ou Prédicateurs : (nombre indéterminé) prêchent auprès des habitants.
Etats Chalcedes : Conseil Le pays est administré par un conseil regroupant les 3 plus grandes villes du pays et ayant lieux dans la salle du conseil d’une des trois cités (Jamaillia, Jep et Sinjon). Les conseils ont lieu tous les jours sur des sujets divers et variés et les lois très importantes ou les sujets sensibles ainsi que les guerres sont décidés par les trois conseils dans la même salle. Les conseils sont composés de 150 conseillés chacun, 300 témoins (citoyens venus pour plaidoyer) et 2 présidents (qui présidents les séances). Ces présidents sont désignés par les conseillers tous les 2 ans et les conseiller sont les citoyens les plus riches, les plus importants ou les plus sages (ils sont désignés par les conseillers eux-mêmes). Il existe 3 courants politiques communs à tous les conseils : - Le savoir : centré sur la recherche et la connaissance. Anti-religion, très ouvert aux autres pays, pacifistes. Démocrate. Analyse. - Le pouvoir : centré sur l’armée, la stratégie et la gestion. Pro-guerre, moyennement ouvert aux autres pays, militariste. Autoritaire. Juste. - La nation : centré sur le pays, l’économie, la police. Pro-Chalcedes, fermé aux autres pays, populiste, anarchiste. Très virulent.
Royaume des montagnes : royauté clanique Il existe plusieurs clans menés chacun par un chef de clan. Les décisions sont prises par le roi et les chefs de clans font leurs propres lois propres à leur clan (ils doivent bien sur respecter celles du roi). Les clans les plus importants sont : - Famille Poigne-de-fer : basée à Jhaampe, compte 400 à 500 guerriers. Militariste, agressive, forte en gestion. - Clan du Lac Bleu : basé à Œil-de-Lune, compte 400 à 600 guerriers. Privilégie la défense, pêcheur, persévérant, résistant. - Les montagnards : tous les petits villages dans les montagnes, comptent 1000 à 1200 guerriers. Sournois, résistants, chasseurs, travailleurs, brutes. - Le roi : basé à Jhaampe, compte 2000 à 5000 guerriers. Réfléchi, intéressé, prudent, diplomate, fort, droit, brave. Tous les petits clans comptent 15 000 à 25 000 guerriers. (Attention, le nombre de guerrier ne montre pas forcément l’influence du clan ni sa puissance.) Rippon : sénat
Voir sénat romain (wikipédia, internet)
- Histoire:
HRP D’autres chroniques ou récit seront peut être ajoutés par la suite, ils vous seront envoyés par le MJ HRP
Nous sommes présentement en l’an 602. Pour toutes les factions la date est la même. Mais il existe des divergences sur l’événement désignant l’an 0. Certains disent qu’il est définit par la disparition des Faucheurs (monstres très puissants qui terrorisaient les habitants de Lieues il y a 500 ans, ils ont été vaincus par l’ordre des justes, maintenant lui aussi disparu). La création de l’ordre des justes qui a maintenu la paix à Lieues pendant 100 ans. La création de l’église Fiitriaque, une branche de l’ordre des justes. La découverte des côtes glacées. Et tout un tas d’autres raisons se contredisant les unes et les autres. La raison la plus populaire est la création de l’ordre des justes, cet ordre étant très apprécié par les érudits et les historiens ce n’est pas étonnant. Vous vous doutez bien que la raison officielles à Haurfond est bien sur la création de l’église Fiitriaque. Les autres factions laissent les savants, érudits et historiens libre de leur choix. Cette question épineuse n’a cependant jamais été la source d’une quelconque guerre. La division de l’empire de Castellonde. « Le sang coulait à flot dans les rues, les bannières des deux héritiers étaient éparpillées dans les rues et leurs partisans se battaient avec acharnement ou gisaient au sol déjà souillés du sang de pauvres citoyens habitant dans la cité impériale, le palais de l’empereur était en feu et ses deux fils se battaient dans les rues de la cité. Des membres et des cadavres roulaient dans les rues et des milliers de soldats, nobles, paysans, miliciens, se battaient dans les rues pour le fils qu’ils pensaient légitime. » Extrait des chroniques de Fébule de Lancastier, historien de Castellonde, an 186, La lutte des deux Fils. Les pays de Bearns et Labour ne faisait jadis qu’un seul et même empire et, en 180, un des meilleurs empereurs qui ait jamais gouverné l’empire de Castellonde, meurt laissant son empire à ses deux fils : Bearns et Labour. La suite, vous la devinez, une guerre de succession qui dura 10 ans, en 186, la cité impériale de Castellonde est mise à feu et à sang par un des derniers affrontements des deux fils. Labour tenait la ville et s’était auto-proclamé empereur dans le palais impérial. Bearns et ses partisans assiégèrent la ville et une partie de celle-ci ainsi que le palais impérial disparu totalement dans les cendres. 4 ans après, un accord fut conclu entre les deux frères, Labour aurait le sud de l’empire et Bearns le nord. « Ainsi s’éteint le plus grand empire que Lieues est jamais connu, avec son plus grand empereur et le massacre de millier d’innocents. » Ulric, capitaine de la garde impériale et conseiller de l’empereur, an 190, lettre à sa femme.
Les rebelles de l’Eglise Triiarque. « Le père Guy n’a eu qu’à lever la main et les 5 rebelles furent pendus devant la moitié du village. S’en suivit un long discours des différents prédicateurs sur la perfidie de l’Eglise Triiarque et la bonté de sa sainteté le patriarche. » Récits de Jacques Godin, an 580, Les deux Eglises. Le pouvoir et le contrôle de l’Eglise Fiitriarque sont contestés à Haurfond et une nouvelle Eglise est en train de voir le jour, plus libérale, ouverte aux autres pays et plus juste, L’Eglise Triiarque. Cependant, l’Eglise Fiitriarque ne compte pas laisser cette nouvelle Eglise prendre le dessus et on peut assister depuis une vingtaine d’année à des exécutions journalières partout dans le pays pour dissuader les habitants d’Haurfond de rejoindre ce mouvement de rebelles. La répression est totale est l’Eglise Fiitriarque éradique petit à petit toute résistance.
La bataille de Turlac. « Par le présent traité, le parlement de Bauge cède la ville de Turlac au royaume de Labour, en échange, celui-ci s’engage à ne pas attaquer Bauge pendant 10 ans. » Traité de Turlac, ratifié à Turlac par Le parlement de Bauge et le roi de Labour, an 210. « Les carreaux fusaient de toute part, je voyais les hommes tomber autour de moi, nos soldats se battaient comme des lions sur les murs mais les assaillants envoyaient toujours plus d’hommes. Finalement, les hommes de Labour pénétrèrent dans la ville après avoir tout massacré sur les remparts et ils commencèrent à piller la ville et brûler notre drapeau. » Mémoires de Fen-Ulun, cavalier de Bauge, an 210, La prise de notre chère Turlac.
Création de l’université de Forge. « Le roi de Cerf se trouvait sur l’estrade avec notre bien-aimé empereur ils se serraient la main et prononcèrent tous deux un discours faisant l’éloge de l’alliance, la science et la connaissance. Le directeur de la future université parla très peu, mais je compris qu’il était très ému, il ne pensait pas cela possible. En effet c’est la première fois que deux factions collaborent pour créer un lieu où leurs érudits et scientifiques pourront enseigner et garder leur savoir. » Extrait des chroniques de Fébule de Lancastier, an 172, Le savoir et la science. En 172, l’empereur de Castellonde et le roi de Cerf ont collaborés pour créer la première université de Lieues, elle devait receler tout le savoir des deux factions et permettre de rendre l’enseignement public et plus accessible. Cette université reste aujourd’hui la plus grande et la plus prestigieuse de Lieues, on y enseigne aussi bien la science, l’art ou la tactique militaire. « Vaincre les ténèbres par la science » Devise de l’université d’enseignement supérieur de Forge. Adoptée en 175 par le professeur Fébule de Lancastier.
Création du consulat de Labour. « Ne refaite pas les erreurs passés. » Dernier roi de Labour avant de mourir à ses 3 fils, an 216. En effet quand le roi de Labour meurt en 216 et qu’il laisse son royaume à ses trois fils on peut avoir peur d’une guerre civile entre les 3 frères pour la succession au trône. « Nous gouvernerons ensemble, main dans la main. Nous apprenons du passé et bâtissons notre futur ensemble. Il ne peut y avoir 3 rois à Labour c’est pourquoi nous serons appelés consuls. » Discours des trois frères à Gué-de-Négoce, paroles de l’ainé (Richard), an 216. Quelques jours après la mort de leur père, les trois frères prononcent un discours historique dans la capitale de Labour en instaurant le consulat. Le régime se développera par la suite en plusieurs conseils sur le modèle de Bearns.
Création et chute de l’ordre des justes. « De braves chevaliers, en armure brillante et rutilante. Ces hommes n’avaient aucune peur et un seul but, éradiquer les faucheurs pour instaurer la paix à Lieues dans le respect du divin. Ils voulaient détruire le pécher et le mal ici-bas acceptant, acceptant nobles et paysans dans leur rang, prodiguant des soins aux populations et créant des écoles dans aux quatre coins Lieues cet ordre est ce qu’il ait eut de meilleur à travers l’histoire. » Manuscrit de l’histoire de Lieues, Fébule de Lancastier, paru en l’an 203, L’ordre des justes. « Ce matin, trois faucheurs ont massacré un village à Bauguega (ancien nom de Bauge), j’ai envoyé quelques chevaliers ainsi que plusieurs prêtres médecins allé aider les survivants et traquer ces faucheurs. Que le divin soit avec eux, je sais que 3 faucheurs seront difficiles à vaincre, mais la foi de nos chevaliers aura raisons de ces créatures de l’Efembra (enfer). Sa sainteté le père Huilien ne voulait pas envoyer ses prêtres pour soigner les survivants et voulait que mes chevaliers rapportent les biens des paysans, je commence sincèrement à douter de sa foi. » Compte rendu du Chevalier commandeur de Bauguega, Alex Brimefrond, an 10. « Tout prêtre ou religieux possédant une fortune supérieure à celle autorisée par le divin sera démit de ses fonctions. Tout prêtre ou religieux ayant un comportement de débauche et marchandant ses services sera emprisonné et démit de ses fonctions. Tout prêtre ou religieux essayant d’imposer notre religion aux non-croyants sera exécuté. » Réforme de l’église Fiitriaque, an 90. « La forteresse est encerclée, les pères de la région ont réuni une milice et de nombreux paysans et ils se retournent contre nous, mes hommes et moi n’avons pas la volonté de nous battre contre nos semblables, nous sommes des purificateurs et des tueurs de monstres pas des meurtriers. Ces pauvres gens ne savent pas ce qu’ils font, ils ne sont que manipulés par des charlatans. J’ai demandé à mes chevaliers de fuir par les souterrains je reste dans la forteresse je n’abandonnerai pas le dernier bastion de l’ordre. Je suis le dernier chevalier commandeur, si je dois mourir, cela sera pour la paix et le divin. Sache que je t’aime et pardonne mon honneur qui m’oblige à défendre ce château jusqu’à la mort. » Lettre du dernier chevalier commandeur de l’ordre des justes, Philippe Brimefrond, à sa femme, an 111. Découverte des côtes glacées. « Devant nous s’étendait une terre gelée, notre bateau naviguait entre les ilots de glace et nous approchions de ce rivage gelée et totalement désert. » Récit de Cristophe Lombarco, capitaine de bâteau, an 0. L’expédition « Lombarco » avait été financée par l’empire de Castellonde pour découvrir de nouvelles terres au nord de l’empire. La faction a d’ailleurs été la première à exploiter le fer blanc sur les côtes gelées. On raconte que certains explorateurs et quelques mineurs ont aperçus des faucheurs sur ces terres. « Ils disent avoir vu des créatures ressemblant à des faucheurs mais comment peuvent-ils affirmer ceci ? Ils n’en n’ont jamais vu eux-mêmes ! Ce ne sont que des histoires qu’ils ont inventées pour se disculper de leur désertion ! » Plutarque Gartier, juge de la cour impériale, durant le procès des mineurs déserteurs, an 152. Biographies : Fébule de Lancastier est né dans l’empire de Castellonde à Hautedune en 151. Il est issu d’une famille de nobles de Cerf et de Castellonde. Il a rédigé de nombreux traités historiques et le manuscrit sur l’histoire de Lieues ainsi que de nombreux essais géographiques et critiques. Il a assisté à la chute de l’empire et a enseigné pendant 7 ans à l’université de Forge. Il est mort en 215 de vieillesse sans aucune descendance, il a donc légué sa fortune et ses biens à l’université de Forge. Ces derniers mots auraient été : « Je regrette une seule chose, je n’ai pas eu le temps d’écrire plus. Il faut continuer à témoigner sur notre époque, c’est tout ce qu’il restera de nous à la fin. ». Il est enterré à Castellonde dans le cimetière royal. L’université de forge porte son nom (université d’enseignement supérieur Lancastier). Jacques Godin, érudit né à Haurfond en 562 dans un village inconnu est mort en 586 exécuté à la suite de ses écrits sur l’Eglise. On ne sait pas où il est enterré. Ses écrits sont très connus et sont interdis à Haurfond. Fen-Ulun est un soldat de Bauge (soldat Baugain) né en 187 à Turlac et mort en 250 dans la bataille d’Appontement d’un carreau d’arbalète. Ses mémoires sont très connues et beaucoup utilisées par les historiens pour parler la guerre entre Bauge et Labour.
Lignée des Brimefrond. Les Brimefrond ont été des commandeurs de l’ordre des justes de père en fils, le dernier chevalier commandeur était d’ailleurs un Brimefrond. Aujourd’hui on ne sait pas s’ils restent encore des descendants de cette illustre lignée.
- Autres extraits de chroniques:
Fébule de Lancastier : 151-215 (voir bio dans Histoire)
Godefroy de Sanslys : 170-216, mathématicien et philosophe de renom, a enseigné 20 ans à l’université de Forge. Né à Cerf de parents nobles. Descendance encore présente. Marié en 197. Mort lors de l’épidémie de 215-218. Deniers mots : « Je n’ai pas accompli mon but, mais en disant ceci je viens peut être de l’accomplir », déclaration encore mystérieuse à ce jour. Cadavre brûlé dans la campagne de Forge. Guy Débrant : 190-251, lieutenant de la milice d’un quartier de forge. A assisté à l’épidémie de 215-218. Seuls écrits valables sur cet évènement = ses mémoires. Mort de vieillesse. Descendance inconue. Enterrés dans le cimetière des vétérans à Forge. « Les trompettes retentirent et je vis les deux chevaliers talonner leur monture, ils prirent une vitesse incroyable, lance baissée ils fonçaient l’un contre l’autre. Leurs armures reflétaient le soleil et éblouissaient les spectateurs. Je dus lutter pour continuer à regarder cette charge sans fin. Finalement, le contact se fit, violent, soudain, brusque et rapide. Les lances volèrent en éclat, le choc devait être terrible pour les deux hommes, l’un deux fut touché en plein torse et tomba de son cheval qui le traina sur plusieurs mètres. L’autre chevalier se prit la lance en pleine tête, il fut renversé sur son cheval mais tenu bon, il se releva finalement, étourdit et hagard mais fier d’avoir gagné le tournois de Castlecerf. » Extrait des chroniques de Fébule de Lancastier, an 169, Tournois de Castlecerf. « C’est une histoire fort intéressante que celle-ci. En effet, nous savons tous que les faucheurs ont été éradiqués par les chevaliers de l’ordre des justes, paix à leur âme, mais ces mineurs, explorateurs et gardes disent clairement en avoir vu sur les côtes gelées. Nous savons que la première mention des faucheurs date d’environ 180 avant les justes (-180). Ils ont été vus pour la première fois en cette année dans les montagnes du nord. Il est donc fort plausible que les faucheurs est vu le jour plus au nord et qu’ils sont venus par la mer ou peut être que notre continent est relié au rivage gelé quelque part à l’ouest, ce qui est totalement possible en étudiant les cartes. Les faucheurs ne seraient donc pas tous morts et ils en resteraient sur les rivages gelés. A mon avis ces mineurs disent vrai mais personne ne veut les croire par peur des conséquences que cela incombe. » Fébule de Lancastier, sur les procès des mineurs des années 150, discours prononcé en 176 devant l’université de Forge (université d’enseignement supérieur Lancastier). « Le fondement même de notre existence ici-bas est incertain, quelques parvenus et illuminés le justifie par l’intervention d’un quelconque « Être divin », j’aurais bien voulu les croire s’ils ne commettaient pas les pires atrocités au nom de ce « divin ». Je me suis donc posé la question, comment sommes-nous arrivé ici, quand cela a-t-il commencé ? Nous savons tous que les premiers écrits datent de C.700 (C = circa = aux environs de) avant les justes, mais notre civilisation est notre existence sur cette terre est bien plus ancienne. Nous pouvons justifier tout cela par la science, bien sûr, nous sommes tous formés de matière organique et de diverses autres choses mais je ne pose pas la question de comment sommes-nous apparus (une réaction chimique classique en somme) mais pourquoi sommes-nous apparus ? Peut-être un jour arriverons-nous à le savoir. » Essai sur l’existence et la raison universelle, Fébule de Lancastier, paru en 2010. « La raison universelle est définit par cette simple question : pourquoi sommes-nous ici, que devons-nous accomplir ? » Définition de la raison universelle par Fébule de Lancastier et Godefroy de Sanslys, an 201. « La mort rôde dans les rues, à mesure que je m’avançais dans la ville je découvrais toujours plus de cadavres, ils pourrissaient sur la chaussée et étaient couverts de pustules noirâtres, les biologistes et médecins de l’université travaillent sans relâche mais la manipulation de cette chose, cet immondice est dangereuse, il faut prendre des précautions. La milice n’est même plus assez nombreuse ou assez courageuse pour transporter les corps hors de la ville, les différents docteurs et médecins sont débordés de patients ou alors morts à leurs côtés dans le fossé. Les règles sanitaires du pays sont pourtant strictes, je ne comprends pas comment une telle chose a pu se produire ici, à Cerf. » Lettre de Godefroy de Sanslys à Fébule de Lancastier, an 215. « La transmission se fait par le sang ou tout liquide du corps humain, le touché de bubons ou pustules et le contact prolongé avec des fosses de purifications (les fosses de purifications ne sont plus utilisés pour aujourd’hui, elles étaient construites en dehors des villes, on y jetaient toutes sortes de saletés et de cadavres pour ensuite les brûler et enterrer les cendres dans les montagnes), celle-ci facilite le développement du Purulent formé par l’alliance d’excrément et de corps en putréfaction. Les premier symptômes se déclarent 1 jour ou 2 après contaminations : apparition de pustules, toux sanglante, mal de tête. Une semaine après incubation il y a 50% de chance de décès dans traitement et des bubons commencent à apparaître ainsi qu’une fièvre puissante. Après 8 jours les chances de décès sont de 100% avec ou sans traitement. » Rapport de recherche du docteur Frank Goton, an 217, université de Forge. « Les seigneurs et le roi ont décidé de créé une garde des malades, composées de docteurs et d’infirmiers formés sur le tas à qui on a spécialement fabriqué un équipement adéquat pour administrer le remède en limitant les chances de contaminations. » Mémoires de Guy Débrant lieutenant de la milice, an 217. « Les dernier cadavres sont évacués et brûlés en dehors de la ville par les docteurs accompagnés de la garde des malades, des centaines de charrettes chargées de corps souillés quittent la ville. Les rues sont récurées de fond en comble et les docteurs de l’université continue leur excellent travail de production du remède. Des centaines de bûchers sont dressée tout autour de la ville et la campagne environnante ressemble au ciel étoilé de Lieues. » Mémoires de Guy Débrant lieutenant de la milice, an 218. Liste des Universités : Forge : Université d’enseignement supérieur Lancastier, « Vaincre les ténèbres par la science », formation de professeur, docteur, scientifiques, historiens, officiers. Castlecerf : Ecole de technicien de siège, « Les rouages de la vie composent l’engrenage de la mort », formation de technicien de siège, constructeur d’armes de sièges, officiers. Université du docteur Facelier, « Observer, étudier, créer, vaincre, sauver », formation de docteur, infirmier, médecin, médecin militaire, chercheur, apothicaire. Jamaillia : Ecole militaire de commandement et de combat, « La victoire ou la mort », formation de commandant, tacticien, stratège, officier, soldat. Castellonde : Ecole de formation générale, « L’apprentissage pour tous », formation générale. Université Volin IV, « La connaissance est notre salut », formation d’historien, géographe, écrivain, chroniqueur. Gardebaie : Ecole de droit, « Dura lex sed lex » (la loi est dur mais c’est la loi), avocat, notaire, fonction publique, politique. Schola du sénat, « Errare humanum est » (il est de la nature de l’homme de se tromper), enseignement général. Quaterna principe Julius Mundicus, « In Hoc Signo Vinces » (par se signe tu vaincras), formation de militaire, officier, garde. Appontement : Ecole navale de l’Amiral Hereb, « Fendre les flots », formation de navigateur, marin, officier de pont, capitaine, construction de bateau (ingénieur…).
Université d’enseignement général Garton, « La connaissance au peuple », formation générale + formation militaire.
- CULTURE, MŒURS ET ARCHITECTURE:
Bearns + Labour + Cerf : dans les villages, on retrouve des maisons composées d’un toit en chaume et de murs en torchis renforcés de pierre ou de bois, le centre du village est occupé par la maison communale c’est une halle en en bois séché qui accueille le marché et les repas publiques. Les maisons dans les villes sont plutôt en bois en et torchis (= maison à colombage). Les villes possèdent toutes une muraille en pierre ou en bois et en terre autour d’elles. Certaine possèdent aussi un château, il est bâti sur la partie la plus haute de la ville, il est le plus souvent en pierre et c’est un château médiéval comme on a l’habitude d’en voir (barbacane, créneaux, archères, meurtrières, herse ou pont levis) mais avec de nombreuses tours défensives.
A Cerf, presque tous les villages sont aussi accompagnés un château, celui-ci est plus souvent en bois ou est juste un donjon bâti sur une hauteur faisant office de tour de guet et de logis pour le seigneur ou le chevalier. Bauge : les villages sont composés de huttes ou de yourtes en peaux ou en terre. Les toits sont souvent en pailles (pour les yourtes en terre). Les huttes et les yourtes sont parfois surélevées par des plateformes en bois. Les maisons dans les villes sont en bois. Chaque ville a une muraille en bois ainsi qu’un château en bois. Certains seigneurs de guerre bâtissent des châteaux en bois aux frontières, ceux-ci sont utilisés défensivement en temps de guerre et ne sont pas des lieux d’habitation. Rippon : https://sites.google.com/site/civilisationromaine/l-habitat-romain-la-domus-la-villa-l-insula/la-domus/la-domus-plan-et-architecture http://p9.storage.canalblog.com/97/80/1148385/102803028_o.gif
https://fr.wikipedia.org/wiki/Architecture_romaine
Bon, oui à la fin j'en pouvais plus j'ai un peu fait ça à l'arrache XD
Merci de votre lecture si vous êtes encore là XD Excusez mon orthographe pitoyable J'espère que ce petit monde vous donnera des idées
Dernière édition par Wellan Ikarin le Sam 12 Aoû - 17:10, édité 2 fois |
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